6. Boutiques de science
Cliquez sur ce lien pour télécharger un texte synthèse en français sur les boutiques de science: Fichier:Boutiques de sciences.pdf.
Cadre méthodologique
- Définition des boutiques de science (autre page wiki)
Living Knowledge est le portail du réseau international des boutiques de science.
- Hellemans, Alexander, 2001. Many Models "Science shops provide non-profit alternative", Nature 412 (4-5)
Voir aussi : article complet
Un aperçu de la diversité des boutiques de science.
- Commission européenne, 2005. Présentation des boutiques de sciences comme "outil de recherche pour la société civile locale" Plaquette d'appel à candidatures pour le projet "Sciences et société - 20: boutiques de sciences" (FP6).
Mis en ligne sur le site Living Knowledge, cette boîte à outils collaborative est constituée par les expériences et résultats des boutiques de science du réseau, entrées dans une base de données collective de format MS Access Database (1,5 MB). Ses contenus permettent d'acquérir ou de raffiner le savoir-faire des professionnels concernant l'administration, la communication, ou le montage d'un projet de boutique de science. Les usagers y ont aussi accès à un répertoire de méthodes de recherche participatives.
Analyses comparatives/transversales
- Leydesdorff, Loet, et Janelle Ward, 2005. Science shops: A kaleidoscope of science-society collaborations in Europe Public Understanding of Science 14 : 353-372.
Les auteurs analysent le développement des boutiques de science comme un nouveau contrat social entre les universités et leur environnement. A partir de 21 études de cas, ils distinguent 4 contextes culturels successifs qui ont mené à l'institutionnalisation des boutiques de science au cours des dernières décennies, et proposent une typologie de ces dernières.
Voir aussi : l'analyse de la communication externe des boutiques de science européennes : le rapport "scientométrique", INTERACTS et la page contenant ce rapport
L'article précédent est une version plus légère du rapport produit par les auteurs (sous le même titre) dans le cadre du projet de recherche de la Amsterdam School of Communication, financé par le programme européen Interacts (FP5). Ce rapport "scientométrique" avait pour objet la visibilité des travaux des boutiques de sciences. Le point fort de ce document de 68 pages consiste dans l'analyse de la communication de chaque boutique de science et projet considéré.
Voir aussi : Leydesdorff et al., 2004. Science Shops in Europe: The Public as Stakeholder Science & Public Policy 31 (3): 199-211. Aussi inspiré du rapport séminal, cet article présente l'intérêt de retracer dans un tableau l'évolution du nombre de boutiques de science dans le temps pour les 7 pays concernés, et pose le développement des boutiques de science dans des cultures politiques nationales et sociétés civiles aux configurations différentes.
- Loka Institute, 1998. Community-Based Research in the United States: An Introductory Reconnaissance, Including Twelve Organizational Case Studies and Comparison with the Dutch Science Shops and with the Mainstream American Research System.
- Van de Vusse, Annemarie, 1985. Visitors to the "Science Shops": Their Images of Science Science, Technology, & Human Values 10 (4): 75-76.
- Wachelder, Joseph, 2003. Democratizing science: Various routes and visions of Dutch science shops Science, technology, & human values 28 (2): 244-273.
Expériences
Répertoires d'expériences
Le programme INTERACTS visait à explorer les relations entre les boutiques de sciences, les universités et les ONG.
Études de cas
| Sommaire |
|---|
| Australie - Belgique - France - Pays-Bas - Portugal - Roumanie - Union européenne |
Australie
Voir la liste des projets réalisés
Belgique
Voir illustration powerpoint
L'étude de cas porte sur les boutiques de la Vrije Universiteit Brussel et Universiteit Antwerpen développées en Belgique flamande grâce au programme gouvernemental "Science & Society in Interaction". Aujourd'hui, elles sont au nombre de 6, réunies dans le réseau WetenschapsWinkel.be.
France
Voir le site Web
Si la formule de la boutique de science a connu un relatif succès en France au début des années 1980, la plupart de ces expériences ont été informelles, et ont pris fin dans la seconde moitié de la décennie. Une brèche semble s'être ouverte en 2004, avec l'apparition de la notion de co-construction du savoir avec les citoyens, mais les obstacles - notamment de mentalité - sont restés nombreux. Il a fallu convaincre du bien-fondé d'une telle démarche participative, et motiver les acteurs à participer.
Pays-Bas
Voir le site Web
Le cas présente le travail réalisé par la boutique de science dans un cas de pollution malodorante par 2 usines à Steenwijk aux Pays-Bas, sur la demande de résidants soutenus par une ONG environnementale.
Portugal
Cette synthèse présente les choix stratégiques qu'ont dû faire les organisateurs de Loja do Saber: une boutique de science universitaire, ou privée? quel statut? quelle place accorder au réseautage? dans quel domaine et comment intervenir? Les liens avec la Commission européenne?
Roumanie
- INTERMEDIUNET Romania (INRO), le réseau roumain des boutiques de science et le cas de l'INRO de Brasov en Transylvanie
Voir le site Web
Le réseau Intermediu se définit comme un "cadre de soutien mutuel" entre les boutiques de sciences roumaines. Il se compose de 8 bureaux régionaux indépendants coordonnés par un burau central basé à Iasi. Les boutiques de science ont été dévelopées en Roumanie à la fin des années 1990, grâce à un projet financé par les Pays-Bas.
Union européenne
Pour plus d'information: Les Boutiques de sciences- dossier thématique
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